Entre parties de cartes, tennis de table, vidéos et plaisanteries, les Français tuent le temps comme ils peuvent à deux jours de leur entrée en lice à l'Euro, retranchés dans leur hôtel noyé dans la brume.
Installés depuis mercredi soir à l'hôtel Mirador Kempinski près de Vevey, les Bleus ont hâte de plonger dans la compétition lundi face à la Roumanie, ont reconnu Sidney Govou et Sébastien Frey samedi.
"On a des fourmis dans les jambes, mais on arrive à s'occuper", a déclaré Govou.
Comme ses partenaires, le Lyonnais s'est entraîné une heure par jour depuis l'arrivée en Suisse. Hormis ces séances de fin d'après-midi, les Français doivent se trouver des occupations.
"On ne fait pas grand-chose, on a la chance d'avoir une belle salle de jeux. Il y en a qui jouent aux cartes, au ping pong, aux dominos... Ça discute à droite à gauche", a décrit Govou.
"Ça se passe bien, on a hâte de commencer la compétition", a-t-il lâché.
"LE PLUS DUR A ÉTÉ FAIT"
L'encadrement de l'équipe de France avait prévu cette impatience en faisant équiper le Mirador Kempinski de cette vaste salle de jeux.
"C'est pour nous, pour tuer le temps", a dit Govou.
Frey a confirmé: "Il y a une salle de jeux, on y passe pas mal de temps, on rigole ensemble, ça permet de se retrouver."
Les Français n'ont même pas le loisir d'admirer le lac Léman, qui s'étire au bas du Mont-Pèlerin sur lequel est niché leur établissement de luxe. Depuis leur installation, l'hôtel est la plupart du temps perdu dans les brumes ou les nuages accrochés sur les reliefs alpins.
"Les structures sont très belles. Le seul inconvénient, c'est le mauvais temps", a ajouté le gardien de but.
"La plupart du temps, on se repose entre les repas. La compétition approche donc on va commencer à regarder des vidéos", s'est-il presque réjoui.
Par diplomatie ou conviction, Govou comme Frey ont défendu cet isolement décrété par l'encadrement.
"Ce n'est pas évident mais on sait tous qu'il faut en passer par là si on veut être performant", a soutenu Govou.
Frey a tout de même laissé percer son soulagement à l'idée de basculer prochainement dans la compétition: "Le plus dur a été fait."
Installés depuis mercredi soir à l'hôtel Mirador Kempinski près de Vevey, les Bleus ont hâte de plonger dans la compétition lundi face à la Roumanie, ont reconnu Sidney Govou et Sébastien Frey samedi.
"On a des fourmis dans les jambes, mais on arrive à s'occuper", a déclaré Govou.
Comme ses partenaires, le Lyonnais s'est entraîné une heure par jour depuis l'arrivée en Suisse. Hormis ces séances de fin d'après-midi, les Français doivent se trouver des occupations.
"On ne fait pas grand-chose, on a la chance d'avoir une belle salle de jeux. Il y en a qui jouent aux cartes, au ping pong, aux dominos... Ça discute à droite à gauche", a décrit Govou.
"Ça se passe bien, on a hâte de commencer la compétition", a-t-il lâché.
"LE PLUS DUR A ÉTÉ FAIT"
L'encadrement de l'équipe de France avait prévu cette impatience en faisant équiper le Mirador Kempinski de cette vaste salle de jeux.
"C'est pour nous, pour tuer le temps", a dit Govou.
Frey a confirmé: "Il y a une salle de jeux, on y passe pas mal de temps, on rigole ensemble, ça permet de se retrouver."
Les Français n'ont même pas le loisir d'admirer le lac Léman, qui s'étire au bas du Mont-Pèlerin sur lequel est niché leur établissement de luxe. Depuis leur installation, l'hôtel est la plupart du temps perdu dans les brumes ou les nuages accrochés sur les reliefs alpins.
"Les structures sont très belles. Le seul inconvénient, c'est le mauvais temps", a ajouté le gardien de but.
"La plupart du temps, on se repose entre les repas. La compétition approche donc on va commencer à regarder des vidéos", s'est-il presque réjoui.
Par diplomatie ou conviction, Govou comme Frey ont défendu cet isolement décrété par l'encadrement.
"Ce n'est pas évident mais on sait tous qu'il faut en passer par là si on veut être performant", a soutenu Govou.
Frey a tout de même laissé percer son soulagement à l'idée de basculer prochainement dans la compétition: "Le plus dur a été fait."
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