L'Italie a jusqu'ici poussé sa réputation d'équipe diesel à l'extrême mais se sent encore capable de battre la France la semaine prochaine pour atteindre les quarts de finale de l'Euro après son match nul concédé vendredi face à la Roumanie (1-1).
Les champions du monde avaient été humiliés par les Pays-Bas 3-0 dans le premier match du groupe C, poussant Roberto Donadoni à effectuer cinq changements contre les hommes de Victor Piturca.
Si la défense s'est encore montrée fébrile, comme en témoigne la toile de Gianluca Zambrotta sur le but d'Adrian Mutu, le milieu s'est davantage imposé et les occasions ont été nombreuses.
De son côté, Gianluigi Buffon a tenu son rang en arrêtant notamment un penalty de Mutu et en réalisant plusieurs autres parades décisives.
"Nous sommes déçus du résultat mais nous avons encore une chance de nous qualifier et nous jouerons jusqu'au dernier instant", a dit Fabio Grosso à l'issue du match.
Le Lyonnais, auteur d'un bon match ponctué de centres précis pour Luca Toni, a senti un changement de mentalité au sein de l'équipe italienne.
"Nous sommes rentrés sur le terrain avec un état d'esprit différent et cela s'est vu immédiatement", a-t-il dit.
Grosso est aussi revenu sur deux décisions arbitrales défavorables à l'Italie ayant ponctué les deux premiers matches, d'abord le but controversé de Van Nistelrooy lundi dernier puis le but refusé pour un hors-jeu discutable de Toni contre les Roumains.
"Je ne commente jamais (les décisions arbitrales), mais je dis que dans ces deux matches nous avons peut-être eu un peu de malchance avec les arbitres. Cependant, il arrive aux arbitres de faire des erreurs et c'est notre performance qu'il faut d'abord analyser", a reconnu l'arrière-gauche italien.
UN NUL PEUT SUFFIRE, UNE VICTOIRE PEUT ÊTRE INSUFFISANTE
"Nous avons créé, poussé et souffert à certains moments", a dit Donadoni en conférence de presse. "Le match contre la France est clairement décisif pour notre futur. On le sait et on y va avec tranquillité", a-t-il ajouté.
Pour autant, un remake de la finale de la Coupe du monde 2006 ne suffirait pas forcément à obtenir une qualification.
Les Pays-Bas, après l'écrasante victoire 4-1 face aux Français, peuvent se permettre de reposer leurs titulaires et de perdre face à la Roumanie. Les Bataves n'en resteraient pas moins premiers de la poule.
L'Italie peut se qualifier avec une victoire mardi conjuguée à un nul ou une défaite roumaine.
Mais la Nazionale peut aussi, par un heureux concours de circonstances, passer en quarts de finale avec deux points, dans le cas d'un nul en marquant des buts contre la France et d'une défaite roumaine.
La Squadra azzura passerait alors grâce au nombre de buts marqués dans les confrontations directes entre les trois équipes à deux points.
Les champions du monde avaient été humiliés par les Pays-Bas 3-0 dans le premier match du groupe C, poussant Roberto Donadoni à effectuer cinq changements contre les hommes de Victor Piturca.
Si la défense s'est encore montrée fébrile, comme en témoigne la toile de Gianluca Zambrotta sur le but d'Adrian Mutu, le milieu s'est davantage imposé et les occasions ont été nombreuses.
De son côté, Gianluigi Buffon a tenu son rang en arrêtant notamment un penalty de Mutu et en réalisant plusieurs autres parades décisives.
"Nous sommes déçus du résultat mais nous avons encore une chance de nous qualifier et nous jouerons jusqu'au dernier instant", a dit Fabio Grosso à l'issue du match.
Le Lyonnais, auteur d'un bon match ponctué de centres précis pour Luca Toni, a senti un changement de mentalité au sein de l'équipe italienne.
"Nous sommes rentrés sur le terrain avec un état d'esprit différent et cela s'est vu immédiatement", a-t-il dit.
Grosso est aussi revenu sur deux décisions arbitrales défavorables à l'Italie ayant ponctué les deux premiers matches, d'abord le but controversé de Van Nistelrooy lundi dernier puis le but refusé pour un hors-jeu discutable de Toni contre les Roumains.
"Je ne commente jamais (les décisions arbitrales), mais je dis que dans ces deux matches nous avons peut-être eu un peu de malchance avec les arbitres. Cependant, il arrive aux arbitres de faire des erreurs et c'est notre performance qu'il faut d'abord analyser", a reconnu l'arrière-gauche italien.
UN NUL PEUT SUFFIRE, UNE VICTOIRE PEUT ÊTRE INSUFFISANTE
"Nous avons créé, poussé et souffert à certains moments", a dit Donadoni en conférence de presse. "Le match contre la France est clairement décisif pour notre futur. On le sait et on y va avec tranquillité", a-t-il ajouté.
Pour autant, un remake de la finale de la Coupe du monde 2006 ne suffirait pas forcément à obtenir une qualification.
Les Pays-Bas, après l'écrasante victoire 4-1 face aux Français, peuvent se permettre de reposer leurs titulaires et de perdre face à la Roumanie. Les Bataves n'en resteraient pas moins premiers de la poule.
L'Italie peut se qualifier avec une victoire mardi conjuguée à un nul ou une défaite roumaine.
Mais la Nazionale peut aussi, par un heureux concours de circonstances, passer en quarts de finale avec deux points, dans le cas d'un nul en marquant des buts contre la France et d'une défaite roumaine.
La Squadra azzura passerait alors grâce au nombre de buts marqués dans les confrontations directes entre les trois équipes à deux points.
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